Je cherche un-e interprète

Dans quels domaines d’intervention ?

Les interprètes de l’Asamla interviennent dans toute la Loire-Atlantique à la demande dans les domaines suivant (liste non exhaustive) :

  • Education : accueil de la petite enfance, écoles primaires, collèges et lycées, classes et instituts spécialisés,
  • Santé : hôpitaux, maisons médicales, centres de rééducation, cliniques, médecins généralistes ou spécialistes libéraux,
  • Social : centre médico-sociaux et de protection maternelle et infantile, services de protection de l’enfance et soutien de la parentalité, centres communaux d’action sociale, centres d’accueil des demandeurs d’asile, les centres d’hébergement, les services d’état civil communaux, sécurité sociale, caisse d’allocation familiale, caisse de retraite,  services publics d’accompagnement à l’emploi.

 

Qui sont les interprètes de l’Asamla ?

  • Les interprètes de l’Asamla sont toutes et tous des professionnel-le-s qualifié-e-s. Généralement issus de la migration ils, elles possèdent des connaissances attestées d’au moins une langue d’interprétariat d’une part et en français d’autre part.
  • Les interprètes de l’Asamla maîtrisent les techniques de l’interprétariat professionnel ainsi que la terminologie usuelle dans les champs de la santé, de l’éducation et du social et sont en mesure d’exposer des faits et des contextes de manière compréhensible et adaptée aux destinataires.
  • Leur travail repose sur un référentiel professionnel conforme à la Charte de l’interprétariat médical et social professionnel en France qui définit les principaux aspects de leur rôle et attitude fondamentale, leurs droits et devoirs et leurs compétences professionnelles.
  • Les interprètes de l’Asamla bénéficient d’un accompagnement en supervision et participent tout au long de leur carrière à des formations.

 

Quelles sont les langues proposées ?

Au regard des moyens disponibles l’Asamla essaye au maximum d’élargir le nombre des langues d’intervention. Vous retrouverez ici la liste des langues proposées

 

 

 

 

 

 

Comment l’interprétariat est-il financé ?

L’Asamla est une association. Son activité est reconnue et soutenue par l’Etat et les collectivités locales dans le cadre de conventions et subventions. Ces financements publics sont complétés par des prestations facturées par l’association, les dons et cotisations de ses adhérent-e-s.

 

Dessin de Deligne illustrant un article de J.B François dans La Croix du 21 avril 2014 « Le casse tête de la traduction dans les services sociaux »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Comment faire ? 

Les demandes d’interprétariat doivent être formulées par les intervenants ou services. Lorsqu’une intervention est prévue, il est important de pouvoir préciser les points suivants pour en faciliter l’organisation et l’efficacité :

  • Quels langues les participants à l’entretien parlent-ils et (si possible) d’où ces personnes viennent-elles exactement ?
  • Quels sont la durée et le lieu prévus de l’entretien ?
  • Quelles sont les informations importantes qui doivent être connues de l’interprète ?

La demande d’interprétariat est à formuler au secrétariat de l’Asamla

Du lundi au vendredi entre 9h et 12h30 et entre 14h et 16h45

Asamla

5 place Anatole France
44000 Nantes
Tél : 02 40 48 51 99

@ : contact@asamla.org

 

Recherches

Recherches & Actes

L‘Asamla conduit ou participe régulièrement à des travaux de recherche et des colloques. Vous trouverez ci-après quelques-uns de ces travaux


Interprétariat pour l’intégration : 

 

Un webinaire a été organisé le 11 mars 2021 à l’attention des professionnels de la migration et de l’intégration, par les 3 associations d’interprétariat professionnel de l’ouest (Aptira, Asamla, Réseau Louis Guilloux), adhérentes au réseau national RIMES.

 

Il permet de faire un point sur l’intérêt, les apports qualitatifs et l’utilisabilité de l’interprétariat au bénéfice du processus d’intégration.

Revoir les 3 conférences du webinaire :

Après une introduction sur les enjeux, 3 thèmes majeurs ont été abordés et illustrés d’interventions, d’extraits de vidéos et de témoignages :

1. L’interprétariat professionnel : outil d’intégration (coordonné par l’ASAMLA) où est évoquée la barrière linguistique, comme frein majeur à l’accès aux droits, à l’accompagnement social et aux soins des primo-arrivant-e-s et des réfugié-e-s.

2. L’interprétariat professionnel : un vrai métier (coordonné par le Réseau Louis Guilloux) où est présenté le référentiel de formation garantissant des compétences adaptées, gage d’une information complète et d’un accueil digne.

3. L’interprétariat professionnel : un investissement (coordonné par l’Aptira) où est montré que l’interprétariat est un réel appui pour les personnels aux prises avec la complexité des missions d’intégration et se révèle être un outil d’aide à la décision dans le cheminement des primo-arrivant-e-s et réfugié-e-s.

Revoir l’intégralité du webinaire : 

 


Personnes âgées : 

  • « Prise en compte des migrants vieillissants »  étude  réalisée par Elise CHIRON, étudiante en santé publique, entre 2004 et septembre 2006 dans le cadre  du programme d’insertion des populations immigrées ( PRIPI) des pays de la Loire 2005/2007.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • « Le vieillissement des populations immigrées » – mars 2014- : la DAIC (Direction de l’accueil, de l’intégration et de la citoyenneté, Secrétariat général à l’immigration et à l’intégration, Ministère de l’Intérieur de l’outre-mer, des collectivités territoriales et de l’immigration) a lancé un appel à projet en avril 2011 dans le cadre de la politique nationale d’intégration des migrants. En partenariat avec le Centre de Ressources politique de la Ville de l’Essonne pour l’Ile-de-France et RésO Villes l’ASAMLA a piloté l’organisation d’une journée d’échanges « l’intergénérationnel dans les pays de la Loire » (le 18 octobre 2012, à Angers.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Santé : 

colloque

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  • De la terre d’exil à la « terre d’accueil », un vécu traumatique pour les demandeurs d’asile et les réfugiés. Ensemble, osons ouvrir les yeux. Ensemble, osons prendre soin. » Nantes, 4 septembre 2012, Faculté de Médecine, Cliquez ici pour plus de détails

 

  • L’excision et les mariages forcés, Formation organisée par le Centre Interculturel de Documentation (CID), Nantes, le 5 janvier 2011

 


Interculturalité : 

  • « D’une culture à l’autre : du Borek à la bûche de Noël » livre de cuisine réalisé par un groupe de femmes turques de Châteaubriant, dans le cadre d’atelier d’apprentissage du français en 2004-2005 organisés par le Conseil général et la CAF,de Loire Atlantique,  le centre de  PMI de Châteaubriant et l’Asamla avec le soutien financier de la préfecture  de Loire atlantique et  le centre interculturel de documentation ( CID) – pour obtenir un exemplaire merci de contacter l’association.